PORTRAIT #12

Charlène et son équipe

Yves Rocher

2 place Guignault

Je suis originaire de Paray-le-Monial. Après un bac L j’ai continué mes études en bts esthétique à Vichy, puis j’ai poursuivi en alternance à Ema Sup parfumerie à Paris. Mes 6 années à la capitale m’ont permis de faire mes armes. Responsable sur les champs élysés puis formatrice pour une marque du groupe LVMH, j’ai eu la chance de former des équipes à la vente et des esthéticiennes aux différentes techniques sourcils. Fatiguée de ce rythme et voulant me rapprocher de mes racines, j’ai quitté la vie parisienne pour revenir en Bourgogne. J’ai été commercial en pharmacie sur notre grand secteur Bourgogne franche comté. Lors de cette expérience, j’ai appris l’art de la négociation, ce fut très enrichissant. Néanmoins lorsque j’ai eu mon premier enfant, j’ai décidé d’arrêter la route. Bien que je m’étais dit que je ne me mettrais jamais à mon compte (ne jamais dire jamais!), j’ai profité qu’Yves Rocher soit en vente pour reprendre l’affaire le 1er avril 2016. Déjà 8 ans que je vis l’aventure avec mon équipe dont je suis très fière. Sophie, Julie, Cécilia et les 2 apprenties Jennifer et Clara sont toutes des esthéticiennes passionnées par leur métier et les valeurs de la marque Yves Rocher. J’aime notre cohésion d’équipe et aujourd’hui nous pouvons dire que nous sommes plus que des collègues. Nous sommes heureuses de nous retrouver les matins! En parallèle, j’ai créé un espace de co-working bien être où l’on peut consulter différents thérapeuthes. Ayant toujours de nouvelles idées en tête, pourquoi pas développer cet espace pour mon expertise sourcils! 
 

Dès mon arrivée, j’ai tout de suite adhéré à l’UCIA malgré la barrière de la franchise j’essaie de participer au maximum aux animations. Certes je ne peux pas assortir mes décos de vitrine mais j’essaie d’être toujours ouverte lors des animations. Nous sommes tous dans nos boutiques, absorbés par notre quotidien et grâce à l’UCIA on se rappelle que nous ne sommes pas tout seul. C’est une association dynamique, que je trouve essentielle à la vie des commerçants. Cette volonté d’agir pour notre centre-ville me tient à cœur ! 

Si j’étais une saison, je serai l’été.

Si j’étais un objet, je serai le piano de Freddie Mecury.

Si j’étais un lieu de Paray-le-Monial, je serai la Tour Saint Nicolas.

Si j’étais un rêve d’enfant, je serai chanteuse.

Si j’étais une chanson, je serai “La grenade” de Clara Luciani.

Si j’étais une animation UCIA, je serai Paray des années 30.